Les contre-indications au QHHT®
L'hypnose régressive quantique (QHHT®) est une méthode puissante qui permet d’explorer les vies antérieures, de se connecter à son subconscient et d’obtenir des réponses profondes pour avancer dans sa vie. Cependant, comme pour toute approche thérapeutique, il existe des limites et des contre-indications. Certaines conditions de santé mentale ou neurologique ne sont pas compatibles avec le QHHT®, notamment la maladie d’Alzheimer, le trouble bipolaire et la schizophrénie.
La maladie d'Alzheimer : un obstacle à l’hypnose régressive
Si vous êtes atteint de la maladie d’Alzheimer, il est important de savoir que cette condition rend une séance de QHHT® difficile, voire impossible. Pourquoi ? Parce que cette maladie affecte les capacités cognitives essentielles comme la concentration, la mémoire et la compréhension. Ces fonctions sont nécessaires pour naviguer dans les états hypnotiques profonds et interagir avec son subconscient. De plus, les troubles cognitifs liés à Alzheimer peuvent rendre l’expérience confuse ou inefficace pour le patient.
Le trouble bipolaire : des risques liés aux variations émotionnelles
Le trouble bipolaire est une autre condition qui n’est pas compatible avec le QHHT®. Les personnes atteintes de ce trouble vivent des hauts et des bas émotionnels intenses, parfois accompagnés de phases maniaques ou dépressives sévères. Pendant une séance d'hypnose régressive quantique, l’état hypnotique peut amplifier ces émotions ou déclencher des réactions imprévues. Par exemple, une personne en phase maniaque pourrait avoir du mal à se concentrer ou à rester calme, tandis qu’une personne en phase dépressive pourrait être submergée par des émotions difficiles. Dans ces cas-là, il est préférable d’opter pour d’autres formes de thérapie adaptées aux besoins spécifiques du trouble bipolaire.
La schizophrénie : une incompatibilité due à la dissociation
La schizophrénie est une condition où la dissociation mentale est déjà présente en permanence. L'hypnose régressive quantique repose sur un état de dissociation contrôlée pour accéder au subconscient. Mais chez une personne schizophrène, cet état pourrait être amplifié de manière dangereuse, ce qui risquerait d’aggraver les symptômes comme les hallucinations ou les délires. C’est pourquoi cette technique est fortement déconseillée sans avis médical préalable. Dans certains cas très spécifiques, une hypnothérapie adaptée peut être envisagée sous supervision stricte, mais ce n’est pas le cadre du QHHT®.
Pourquoi ces contre-indications ?
Ces conditions partagent un point commun : elles affectent profondément le fonctionnement mental et émotionnel. Le QHHT® demande une capacité à se concentrer, à suivre les instructions du praticien et à interagir avec son subconscient sans perturbations majeures. Si ces capacités sont altérées par une maladie ou un trouble psychique grave, la séance risque non seulement d’être inefficace mais aussi potentiellement perturbante pour le patient.
Que faire si vous êtes concerné(e) ?
Si vous souffrez de l’une de ces conditions ou si vous avez des doutes sur votre compatibilité avec l'hypnose régressive quantique, il est essentiel d’en parler avec votre médecin ou votre thérapeute avant toute démarche. Il existe d’autres approches thérapeutiques qui pourraient mieux convenir à votre situation et vous apporter des bénéfices sans risques.
Bien que le QHHT® soit une méthode fascinante et puissante, elle n’est pas adaptée à tout le monde. En cas de maladie d’Alzheimer, de trouble bipolaire ou de schizophrénie, il vaut mieux privilégier des solutions thérapeutiques plus adaptées à vos besoins spécifiques. Votre santé mentale et émotionnelle doit toujours passer en priorité !